La chirurgie esthétique du cuir chevelu : bien plus que des cheveux

865

Perdre ses cheveux peut être source de mal-être et affecter lourdement l’estime de soi. Pourtant, grâce aux techniques modernes de greffe capillaire, regagner densité et épaisseur est désormais possible. À Bordeaux, de nombreux chirurgiens sont spécialisés dans ces interventions permettant de retrouver une chevelure naturelle.

Les différentes techniques de greffe capillaire 

Il existe trois techniques principales de greffe capillaire. Le résultat est à chaque fois une chevelure densifiée et naturelle. Le taux de réussite est impressionnant.

A découvrir également : Conseils d'entretien pour les couches Pampers pour bébés

  • la greffe de cheveux FUT (Follicular Unit Transplantation) 
  • la méthode FUE (Follicular Unit Extraction) 
  • l’ADFUT (Armchair Follicular Unit Transplantation)

Le chirurgien détermine la méthode la plus adaptée à chaque patient. L’implant capillaire à Bordeaux est la meilleure solution pour obtenir un résultat satisfaisant.

Un accomplissement psychologique autant qu’esthétique

Désormais, recourir à la greffe capillaire ne vise pas seulement des raisons esthétiques. La calvitie précoce impacte souvent le moral et la confiance en soi. Faire repousser les cheveux a donc avant tout des vertus psychologiques, permettant de renforcer l’estime de soi et de se sentir à nouveau bien dans sa peau. La problématique dépasse largement le cadre cosmétique. Les patients témoignent d’une véritable renaissance intérieure grâce à l’intervention. 

Lire également : Pourquoi Elon Musk et sa première femme, Justine Wilson, ont-ils divorcé ?

Une chirurgie raffinée au service du résultat optimal 

À Bordeaux, différents chirurgiens sont reconnus comme des pionniers de la greffe capillaire. Ils pratiquent les techniques les plus avancées avec raffinement pour obtenir les meilleurs résultats :

  • prélèvement par « bouquets » de follicules afin de conserver leur physiologie ;
  • implantation selon les unités folliculaires naturelles du cuir chevelu ;
  • Densité, orientation et angle de réimplantation millimétrés ;

Grâce à cette chirurgie sur-mesure, il offre à ses patients un résultat bluffant de réalisme et de pérennité.

Aller au-delà de la simple calvitie 

Aujourd’hui, la greffe capillaire ne se limite plus à combler la calvitie. Elle permet aussi :

  • d’étoffer les cheveux clairsemés ou fin de naissance ;
  • de camoufler une cicatrice sur le cuir chevelu en la bordant de cheveux ;
  • de modifier la ligne des cheveux, comme reculer le cadre du visage ;
  • de créer de toutes pièces des cheveux sur un cuir chevelu préalablement rasé.

La chirurgie esthétique du cuir chevelu offre une approche personnalisée, dépassant le simple comblement pour redessiner la chevelure au goût du patient.

Prendre soin de son cuir chevelu pour pérenniser le résultat

Le chirurgien insiste sur l’importance des soins après intervention. De bons gestes quotidiens sont nécessaires pour pérenniser et optimiser le résultat de la greffe au fil des années :

  • utiliser un shampooing doux sans agent agressif ;
  • masser délicatement le cuir chevelu pour stimuler la microcirculation ;
  • protéger la zone des agressions extérieures (soleil, froid…) ;
  • surveiller d’éventuelles chutes excessives.

Grâce à de petites attentions, les cheveux implantés continueront de pousser naturellement, pour le plus grand bonheur des patients comblés. Pendant plusieurs mois, des soins du cuir chevelu sont prodigués pour stimuler la vascularisation et la survie des follicules greffés. Des massages doux évitent les chutes et favorisent l’enracinement. Le respect de consignes prévient les inflammations et garantit le meilleur résultat.

Les avancées de la culture de cheveux in-vitro

Les chercheurs explorent avec succès depuis quelques années la culture in-vitro de follicules capillaires à partir de cellules souches du follicule pileux. Cette technique prometteuse répond à plusieurs enjeux :

  • multiplier de manière illimitée le nombre de follicules disponibles pour les greffes ;
  • personnaliser la greffe en cultivant spécifiquement les follicules du patient ;
  • mieux comprendre les mécanismes de la repousse et de la chute des cheveux ;
  • optimiser les protocoles de greffe en testant de nouveaux facteurs de croissance.
  • à terme, réparer les follicules détruits au lieu de seulement les remplacer. 

Les essais cliniques sur les patients devraient débuter dans les prochaines années afin de valider cette révolutionnaire technique de greffe capillaire du futur.

Les exigences médicales pour de telles interventions

Pour pratiquer la chirurgie capillaire, le chirurgien doit suivre un parcours de formation exigeant couvrant plusieurs spécialités :

  • au minimum 5 ans d’études de médecine générale ;
  • une spécialisation en dermatologie de 4 ans supplémentaires ;
  • Une sur-spécialisation de 2 ans minimum en trichologie et en chirurgie reconstructrice ;

Il doit également avoir une maîtrise pointue des techniques microchirurgicales sous microscope opératoire. Celles-ci garantissent le prélèvement et l’implantation de follicules unitaires. Elles lui permettent aussi de réaliser des sutures délicates au fil chirurgical 10/0ème. Des heures de pratiques sont, par ailleurs, nécessaires. Une habitude des interventions de plusieurs heures aide effectivement à acquérir de la précision et de la minutie.

Seule cette solide formation pluridisciplinaire garantit aux patients la réalisation des greffes capillaires dans les règles de l’art, mimant au plus près la physiologie du follicule pilo-sébacé. Le chirurgien doit, entre autres, être en mesure de répondre à toutes les questions du patient.